Qui suis-je ?
Qu’est-ce qui me définis ?

Pragmatique
Même en reconnaissant une importance capitale à savoir lâcher prise, de manière générale je suis quelqu’un qui aime les choses utiles et pratiques. Je fais partie de ces personnes qui aime tester des processus pour optimiser sa manière de travailler. Non pas pour être dans une ultra productivité nocive, mais pour me simplifier la vie, me libérer l’esprit et m’aider à proposer une expérience fluide et agréable.
La mouche
Pourquoi ? Car c’est un animal qu’on retrouve partout dans le monde, simple et quotidien, mais que l’on remarque ! Je trouve que c’est une belle performance pour une si petite bête et ça correspond plutôt bien à ma vision du graphisme.
Consciente
Consciente que l’on ne peut pas continuer à sur-consommer ainsi, autant d’un point de vue matériel que sociétal.
Consciente de la transition qu’il faut faire, mais aussi de la difficulté du chemin à parcourir.
Je privilégie les petits pas qui me permettent d’avancer durablement avec plaisir aux challenges de falaises qui me donnent le vertige et me pétrifient.
Co-créative
De ce fait, communiquer pour moi-même est une vraie plaie !
Communicante
Être claire et bien noter l’avancer des projets me semble primordial. Et sinon, j’ai aussi une tendance à papoter facilement.
En équilibre
Comme tout le monde, je jongle entre mes ambivalences et je fais des choix imparfaits, mais qui sont justes et adaptés à mon niveau.
Manuelle
Depuis toute petite, j’aime me servir de mes mains. Quand j’ai débuté mon activité, pour ne pas me perdre devant les écrans, j’ai commencé la poterie et la broderie. Doubles révélations qui m’offrent d’incroyables voies d’expression.

Toujours plus !
Je suis complètement gâteuse devant les animaux. Je peux rester émerveillée des heures devant de beaux paysages. Manger de bons produits constitue une de mes plus grandes joies terrestres. Je mets des oignons dans tous mes plats.

Une mouche Lyonnaise qui a la bougeotte !
Même si, bizarrement, je peux être très casanière, il y a forcément un moment où le besoin de vivre différemment, dans un autre pays, devient viscéral. Ne vous étonnez donc pas si, quelques mois par an, je m’exile ailleurs (j’aime l’immersion de longue durée et c’est ma façon de moins abuser des transports). Ça ne changera en rien notre collaboration ni ma disponibilité ! Évidemment, avec la pandémie, je reste bien sagement chez moi, mais j’attends patiemment de pouvoir repartir.